En 2013, une pétition, une action syndicale passent aussi par les réseaux sociaux,
Facebook notamment. C’est logiquement que ceux qui se battent pour conserver le magazine des sports de France Bleu Périgord ont utilisé ce moyen.
La réponse de la direction à la mobilisation de la station a été en tout point disproportionnée. C'est un «affichage calamiteux pour la radio», cela revient à «se tirer une balle dans le pied», propos entendus au cours du CE sud-ouest. La direction a même contacté des salariés pour exiger qu'eux, ou des membres de leur famille retirent leur "like" de la page Facebook. C’est une atteinte inacceptable à la liberté d’expression.
Car cette direction est persuadée que son « autorité » s’exerce aussi sur les activités privées des salariés, y compris ceux d’autres chaînes, et même sur les membres de leurs familles.
Car cette direction pense qu’il est plus important que le moins de gens possibles soient au courant qu’elle a supprimé le magazine des sports, plutôt que de s’interroger sur l’attachement d’une région à un rendez-vous.
Car cette direction pense qu'il est plus important de cacher le mal être qui règne dans la station, plutôt que de tenter de résoudre un problème qui dure depuis bien trop longtemps.