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Radio France a été condamnée par le conseil des Prud'hommes de Paris pour avoir licencié Stéphane Guillon en juin dernier « sans causes réelles ni sérieuses ».
L’ex humoristes de France Inter s’est vu accorder l’intégralité de ses demandes, c'est-à-dire 212.000 euros de dommages et intérêts.
De la même manière que lorsque les Prud’hommes jugent les affaires des pigistes et CDD dont Radio France se débarrasse, les contrats en CDD de Stéphane Guillon depuis avril 2003, ont été requalifié en CDI.
Stéphane Guillon a déclaré à l’AFP qu’il était « ravi en tant que salarié, mais scandalisé en tant que contribuable qu'une société d'Etat ait préféré perdre autant d'argent et d'auditeurs pour faire taire un humoriste ».
On imagine que les mêmes faits produiront les mêmes effets, en avril, concernant Didier Porte.
L’ex humoristes de France Inter s’est vu accorder l’intégralité de ses demandes, c'est-à-dire 212.000 euros de dommages et intérêts.
De la même manière que lorsque les Prud’hommes jugent les affaires des pigistes et CDD dont Radio France se débarrasse, les contrats en CDD de Stéphane Guillon depuis avril 2003, ont été requalifié en CDI.
Stéphane Guillon a déclaré à l’AFP qu’il était « ravi en tant que salarié, mais scandalisé en tant que contribuable qu'une société d'Etat ait préféré perdre autant d'argent et d'auditeurs pour faire taire un humoriste ».
On imagine que les mêmes faits produiront les mêmes effets, en avril, concernant Didier Porte.
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