
En ces journées de passation de pouvoir au sommet de l’Etat, le SNJ rappelle que l’indépendance et la liberté éditoriale sont les biens les plus précieux des journalistes, et de la démocratie.
Elles sont notre raison d’être.
Sans liberté de penser, d’écrire et de dire, pas de journalisme libre et pas de liberté tout court.
Ce rappel est nécessaire, au regard de certains dérapages constatés pendant la campagne, commentaires parfois agressifs à l’encontre de la presse et de certains journalistes, allant parfois jusqu’à brandir la menace.
Ces pratiques politiques n’ont pas lieu d’être dans une démocratie, et il est à souhaiter qu’elles soient remises au vestiaire.
Le service public de la radio est l'un des endroits de la presse française où les journalistes parviennent à conserver une liberté éditoriale souvent menacée, dans de nombreux média, par les pouvoirs économiques ou politiques.
Elles sont notre raison d’être.
Sans liberté de penser, d’écrire et de dire, pas de journalisme libre et pas de liberté tout court.
Ce rappel est nécessaire, au regard de certains dérapages constatés pendant la campagne, commentaires parfois agressifs à l’encontre de la presse et de certains journalistes, allant parfois jusqu’à brandir la menace.
Ces pratiques politiques n’ont pas lieu d’être dans une démocratie, et il est à souhaiter qu’elles soient remises au vestiaire.
Le service public de la radio est l'un des endroits de la presse française où les journalistes parviennent à conserver une liberté éditoriale souvent menacée, dans de nombreux média, par les pouvoirs économiques ou politiques.
Une période nouvelle s’ouvre sur le plan politique. Nous l’abordons sans préjugés, décidés, naturellement, à en rendre compte avec le sérieux et la distance nécessaires.
Passé le fracas de la campagne, nous sommes convaincus que le nouveau pouvoir, conformément à son discours du 6 mai au soir, fera preuve, pour la presse aussi, d’un esprit d’ouverture, dénué de sectarisme.
Mais quiconque, mu par l’autoritarisme, aurait la tentation de brider la liberté de nos antennes trouverait le SNJ sur sa route.
Passé le fracas de la campagne, nous sommes convaincus que le nouveau pouvoir, conformément à son discours du 6 mai au soir, fera preuve, pour la presse aussi, d’un esprit d’ouverture, dénué de sectarisme.
Mais quiconque, mu par l’autoritarisme, aurait la tentation de brider la liberté de nos antennes trouverait le SNJ sur sa route.