
Les journalistes de France Bleu Poitou sont scandalisés par la manière dont ils sont traités par la direction de France Bleu.
Privés de leur rédacteur en chef de début janvier à début mars, parti à Nantes, ils ont appris avec stupéfaction que celui-ci repartait pour Nantes au lendemain du premier tour des municipales, pour assurer à nouveau l'intérim du rédacteur en chef titulaire.
Les journalistes de France Bleu Poitou prennent cela comme du mépris.
Mépris de leur hiérarchie vis-à-vis de leur investissement quotidien pour assurer une qualité d'antenne.
Mépris du travail réalisé en amont par toute l'équipe pour préparer les soirées et les débats d'entre-deux tours des élections municipales, sur une zone qui comprends deux départements et avec seulement six journalistes.
Quelle est donc la plus-value éditoriale de faire aller Pascal Roche à Nantes à six jours du deuxième tour des municipales ?
N'aurait-il pas été plus pertinent de permettre à notre rédacteur en chef de superviser la couverture de la totalité du scrutin à Poitiers ? Nous en voulons pour preuve que notre rédacteur en chef sera lui-même remplacé par un intérimaire, mais à partir du 1er avril. Hasard ou simple bon sens ?
En tout état de cause, les journalistes de France Bleu Poitou dénoncent cette décision arbitraire, qui au final les fragilise.
Privés de leur rédacteur en chef de début janvier à début mars, parti à Nantes, ils ont appris avec stupéfaction que celui-ci repartait pour Nantes au lendemain du premier tour des municipales, pour assurer à nouveau l'intérim du rédacteur en chef titulaire.
Les journalistes de France Bleu Poitou prennent cela comme du mépris.
Mépris de leur hiérarchie vis-à-vis de leur investissement quotidien pour assurer une qualité d'antenne.
Mépris du travail réalisé en amont par toute l'équipe pour préparer les soirées et les débats d'entre-deux tours des élections municipales, sur une zone qui comprends deux départements et avec seulement six journalistes.
Quelle est donc la plus-value éditoriale de faire aller Pascal Roche à Nantes à six jours du deuxième tour des municipales ?
N'aurait-il pas été plus pertinent de permettre à notre rédacteur en chef de superviser la couverture de la totalité du scrutin à Poitiers ? Nous en voulons pour preuve que notre rédacteur en chef sera lui-même remplacé par un intérimaire, mais à partir du 1er avril. Hasard ou simple bon sens ?
En tout état de cause, les journalistes de France Bleu Poitou dénoncent cette décision arbitraire, qui au final les fragilise.
