L'actu par Chaîne
Radio France
Accueil
Envoyer à un ami
Version imprimable
Partager
Le protocole d’accord mettant fin au mouvement de grève des techniciens de France Inter a été signé samedi à 19h00.
Quelques secondes plus tard, des techniciens couraient à Mangin pour prendre l’antenne et permettre le déroulement de la « spéciale Mali ».
Une grève n’est jamais une bonne chose, dès lors que nos auditeurs sont privés de leur radio durant 6 jours. Et ceci est vrai que cette grève soit un mouvement de journalistes ou de techniciens.
Reste que, parfois, c’est le seul moyen pour se faire entendre.
Lorsqu’un préavis a été déposé plus de trois semaines avant la date, sans que la direction ne veuille négocier. Lorsqu’il faut que des journalistes rejoignent le mouvement pour qu’enfin la direction accepte de s’asseoir à la table des négociations, alors de vraies questions se posent sur le dialogue social à Radio France.
Le SNJ, qui n’avait pas signé le préavis de grève, a fait le choix de la responsabilité en soutenant le mouvement, à partir de jeudi. Le but était clairement annoncé : tenter de trouver une solution la plus rapide possible. Une issue qui, en répondant aux demandes des techniciens, préserve les capacités de production de la chaîne et la possibilité –notamment– de répondre aux besoins des journalistes.
Quelques secondes plus tard, des techniciens couraient à Mangin pour prendre l’antenne et permettre le déroulement de la « spéciale Mali ».
Une grève n’est jamais une bonne chose, dès lors que nos auditeurs sont privés de leur radio durant 6 jours. Et ceci est vrai que cette grève soit un mouvement de journalistes ou de techniciens.
Reste que, parfois, c’est le seul moyen pour se faire entendre.
Lorsqu’un préavis a été déposé plus de trois semaines avant la date, sans que la direction ne veuille négocier. Lorsqu’il faut que des journalistes rejoignent le mouvement pour qu’enfin la direction accepte de s’asseoir à la table des négociations, alors de vraies questions se posent sur le dialogue social à Radio France.
Le SNJ, qui n’avait pas signé le préavis de grève, a fait le choix de la responsabilité en soutenant le mouvement, à partir de jeudi. Le but était clairement annoncé : tenter de trouver une solution la plus rapide possible. Une issue qui, en répondant aux demandes des techniciens, préserve les capacités de production de la chaîne et la possibilité –notamment– de répondre aux besoins des journalistes.
Parmi les décisions contenues dans le protocole, il y a la constitution d’un groupe de travail sur la production à France Inter, auquel les journalistes seront invités à participer. Ils auront certainement beaucoup de choses à dire.
Les promotions individuelles 2024 