
Jean-Paul Cluzel a annoncé en ouverture du Comité Central d’Entreprise la dissolution, début avril, de l’AESPA, l’Association des Employeurs de l’Audiovisuel Public. Une dissolution, dit-il, rendue nécessaire suite au départ de RFO, France 2 et France 3, qui représentaient les 2/3 des salariés et qui fait perdre son objet à l’association.
Y avait-il tant d’urgence à procéder à cette dissolution ? « On ne pouvait pas attendre très longtemps », répond Patrice Papet, le DRH.
Le Conseil d’Administration de Radio France du 27 mai 2009 peut encore éventuellement décider de conserver nos conventions mais cela semble très peu probable. Dès aujourd’hui, Jean-Paul Cluzel rappelle que la loi donne 15 mois aux organisations syndicales pour négocier de nouvelles conventions collectives. Et le PDG affirme « il faudra définir un nouveau cadre conventionnel pour les collaborateurs de Radio France».
Y avait-il tant d’urgence à procéder à cette dissolution ? « On ne pouvait pas attendre très longtemps », répond Patrice Papet, le DRH.
Le Conseil d’Administration de Radio France du 27 mai 2009 peut encore éventuellement décider de conserver nos conventions mais cela semble très peu probable. Dès aujourd’hui, Jean-Paul Cluzel rappelle que la loi donne 15 mois aux organisations syndicales pour négocier de nouvelles conventions collectives. Et le PDG affirme « il faudra définir un nouveau cadre conventionnel pour les collaborateurs de Radio France».
A défaut d’accord, c’est le minimum légal qui s’appliquera.
Toutes les professions de Radio France vont y perdre.
Le SNJ prend acte de cette attaque frontale envers le service public et demande, avec toutes les organisations syndicales, une mobilisation à la hauteur de l’enjeu.
Toutes les professions de Radio France vont y perdre.
Le SNJ prend acte de cette attaque frontale envers le service public et demande, avec toutes les organisations syndicales, une mobilisation à la hauteur de l’enjeu.