
Les nouvelles avancées obtenues durant le CCE ont fait évoluer notre position.
Ce texte, nous l’avons négocié, nous avons lutté pour conserver nos avantages, un par un.
Il restait deux écueils : les salaires et le paritarisme.
Les organisations syndicales ont réussi à obtenir que les indices soient sérieusement revus à la hausse, et maintenant la grille a pratiquement résorbé les automatismes. Elle est plus favorable que l’actuelle en début et en fin de carrière. Il reste un creux vers quinze ans. Les CDD voient leurs salaires augmentés de 12%, de plus ils bénéficient enfin de la prise en compte de leur ancienneté réelle.
Côté paritaires, nous ne pouvions imaginer de ne pouvoir défendre les carrières des journalistes qu’après une période de 5 ans sans promotion. Dans le texte unilatéral c’était encore pire.
La DRH vient d’accepter de passer de 5 à 4 ans. Nous pourrons donc défendre une centaine de dossiers chaque année.
C’est cette possibilité qui a fait évoluer notre position car la défense des journalistes fait partie de nos missions essentielles et nous ne pouvons y renoncer.
Ne pas signer, attendre 2012 et une éventuelle « embellie », c’était risquer tous ensemble que cette « embellie » n’arrive jamais et que nous nous trouvions au bout avec un texte bancal et unilatéral, donc modifiable par la direction à tout moment.
Un risque difficile, que nous étions prêts à assumer tant que le texte proposé était vraiment trop loin de notre avenant.
Nous considérons aujourd’hui que la dernière avancée rend ce texte acceptable. Imparfait mais acceptable.
Ce texte, nous l’avons négocié, nous avons lutté pour conserver nos avantages, un par un.
Il restait deux écueils : les salaires et le paritarisme.
Les organisations syndicales ont réussi à obtenir que les indices soient sérieusement revus à la hausse, et maintenant la grille a pratiquement résorbé les automatismes. Elle est plus favorable que l’actuelle en début et en fin de carrière. Il reste un creux vers quinze ans. Les CDD voient leurs salaires augmentés de 12%, de plus ils bénéficient enfin de la prise en compte de leur ancienneté réelle.
Côté paritaires, nous ne pouvions imaginer de ne pouvoir défendre les carrières des journalistes qu’après une période de 5 ans sans promotion. Dans le texte unilatéral c’était encore pire.
La DRH vient d’accepter de passer de 5 à 4 ans. Nous pourrons donc défendre une centaine de dossiers chaque année.
C’est cette possibilité qui a fait évoluer notre position car la défense des journalistes fait partie de nos missions essentielles et nous ne pouvons y renoncer.
Ne pas signer, attendre 2012 et une éventuelle « embellie », c’était risquer tous ensemble que cette « embellie » n’arrive jamais et que nous nous trouvions au bout avec un texte bancal et unilatéral, donc modifiable par la direction à tout moment.
Un risque difficile, que nous étions prêts à assumer tant que le texte proposé était vraiment trop loin de notre avenant.
Nous considérons aujourd’hui que la dernière avancée rend ce texte acceptable. Imparfait mais acceptable.
Nous en avons informé loyalement nos partenaires de l’intersyndicale. Certains sont d’un tout autre avis et c’est totalement compréhensible.
En signant nous n’abandonnons ni le bateau, ni les PTA.
Nous défendons les journalistes dont le statut est en jeu aujourd’hui, comme nous défendrons les carrières de tous les salariés lors des négociations qui vont reprendre.
En signant nous n’abandonnons ni le bateau, ni les PTA.
Nous défendons les journalistes dont le statut est en jeu aujourd’hui, comme nous défendrons les carrières de tous les salariés lors des négociations qui vont reprendre.