
Les Commissions paritaires, qui étaient la base même du pacte social à Radio France, disparaissent dans le projet que la Direction nous a présenté.
Plus aucune transparence, plus d'échange autour de cas précis, plus de problème des rédactions posé officiellement devant les directions.
Des promotions fonctionnelles ou pécuniaires octroyées à la tête du client. Un journaliste ne saura plus à combien ou à quoi il peut prétendre.
Il ne le saura pas plus concernant ses collègues, puisque plus aucune publicité des promotions ne sera faite.
Des promotions au rabais. La direction annonce 3% pour les promotions pécuniaires au lieu des 5% qui s'appliquaient depuis plus 30 ans ; et 5% pour les promotions fonctionnelles au lieu des 7,5%.
Plus de commission de discipline
La commission de discipline disparait elle aussi. Plus de moyen pour les journalistes d'être défendus par leurs pairs. Pourtant, ces commissions ont permis d’éviter nombre d’injustices ou de catastrophes ; ou dans le cas récent de Dominique Dambert et Didier Ades, d’exposer des arguments qui les aideront dans d’autres instances.
Le choix du passé
Au moment ou nombre d'entreprises privées choisissent de se tourner davantage vers les partenaires sociaux, Radio France fait le choix de la ringardise et d'un retour vers un passé qui remonte à plus de 30 ans.
Plus aucune transparence, plus d'échange autour de cas précis, plus de problème des rédactions posé officiellement devant les directions.
Des promotions fonctionnelles ou pécuniaires octroyées à la tête du client. Un journaliste ne saura plus à combien ou à quoi il peut prétendre.
Il ne le saura pas plus concernant ses collègues, puisque plus aucune publicité des promotions ne sera faite.
Des promotions au rabais. La direction annonce 3% pour les promotions pécuniaires au lieu des 5% qui s'appliquaient depuis plus 30 ans ; et 5% pour les promotions fonctionnelles au lieu des 7,5%.
Plus de commission de discipline
La commission de discipline disparait elle aussi. Plus de moyen pour les journalistes d'être défendus par leurs pairs. Pourtant, ces commissions ont permis d’éviter nombre d’injustices ou de catastrophes ; ou dans le cas récent de Dominique Dambert et Didier Ades, d’exposer des arguments qui les aideront dans d’autres instances.
Le choix du passé
Au moment ou nombre d'entreprises privées choisissent de se tourner davantage vers les partenaires sociaux, Radio France fait le choix de la ringardise et d'un retour vers un passé qui remonte à plus de 30 ans.
Le SNJ appelle tous les journalistes de Radio France a en débattre dans les rédactions et à se mobiliser
Pour nous, il est hors de question de laisser l'arbitraire devenir la règle dans les relations sociales de l’entreprise. Radio France ça n’est pas ça.
Les directions, la présidence doivent l'entendre bien avant la fin de la négociation sur la convention collective, avant les grilles de rentrée et avant qu'un mouvement ne se déclenche.
Convention Collective toujours, lire également le projets de la Direction concernant les Assistants d'Edition : suppression de 3 semaines de congés, déclassement du métier et grille salariale en baisse très importante.