
Voilà 21 jours qu'une grève illimitée, lancée trop tôt et sur des motifs catégoriels, paralyse les antennes et, ce faisant, divise les salariés.
Voilà 21 jours que le SNJ cherche les voies et moyens d'une mobilisation enfin unitaire qui porterait sur l'essentiel : l'emploi.
La tenue ce mercredi d'un Comité central d'entreprise extraordinaire était l'occasion d'obtenir du PDG des précisions essentielles sur son projet de plan de départs volontaires. 380 postes supprimés : où ? Comment ? Quand ? Avec quelles conséquences ? Encore plus de "syndication" à Bleu ? Bientôt une "newsroom" commune aux stations nationales ?
Certes, nous n'aurions pas obtenu toutes les réponses. Mais suffisamment peut-être pour mobiliser TOUS les métiers à Radio France, et poser les bases d'une négociation qui, de toute manière, devra avoir lieu.
Mais à l'obtention de réponses, les syndicats grévistes ont préféré quitter la salle. La politique de la chaise vide, au risque de foncer dans le mur.
Les plans de la direction et de la tutelle mettent nos antennes en danger. Cessons de repousser les échéances, dans l'espoir d'un hypothétique grand soir.
Exigeons une négociation. Et, dans l'immédiat, la nomination d'un médiateur pour sortir de l'impasse.
Voilà 21 jours que le SNJ cherche les voies et moyens d'une mobilisation enfin unitaire qui porterait sur l'essentiel : l'emploi.
La tenue ce mercredi d'un Comité central d'entreprise extraordinaire était l'occasion d'obtenir du PDG des précisions essentielles sur son projet de plan de départs volontaires. 380 postes supprimés : où ? Comment ? Quand ? Avec quelles conséquences ? Encore plus de "syndication" à Bleu ? Bientôt une "newsroom" commune aux stations nationales ?
Certes, nous n'aurions pas obtenu toutes les réponses. Mais suffisamment peut-être pour mobiliser TOUS les métiers à Radio France, et poser les bases d'une négociation qui, de toute manière, devra avoir lieu.
Mais à l'obtention de réponses, les syndicats grévistes ont préféré quitter la salle. La politique de la chaise vide, au risque de foncer dans le mur.
Les plans de la direction et de la tutelle mettent nos antennes en danger. Cessons de repousser les échéances, dans l'espoir d'un hypothétique grand soir.
Exigeons une négociation. Et, dans l'immédiat, la nomination d'un médiateur pour sortir de l'impasse.